Projets nationaux terminés
Terminés
Entre 2016 et 2018
Objectifs :
Coordination : Marie-Line Gallenne
Dates : 06/11/2013 - 06/11/2016
Financeur du projet : DSR [Ministère]
Personnes impliquées au LESCOT : Catherine Gabaude
Objectifs :
Monté en coopération avec la ville de Bron (Rhône), le projet visait à : dresser un bilan des conditions de vie et de déplacement des personnes de 60 ans et plus sur la commune, fournir au CCAS un éclairage sur les déterminants de la qualité de vie des brondillants les plus âgés, identifier les spécificités liées aux quartiers d’habitation, identifier des leviers d’action permettant de futures interventions préventives ou correctives pour améliorer les conditions de vie des brondillants de 60 ans et plus. Pour le Lescot il s’agissait d’éclairer un questionnement plus général portant sur les déterminants des conditions de vie, de mobilité et de participation sociale des personnes âgées, avec un focus sur l’échelle d’une commune.
Coordination : IFSTTAR/TS2/Lescot (Aline Alauzet)
Partenaire(s) : Ville de Bron (CCAS). Projet monté dans le cadre des ateliers des Rencontres scientifiques nationales de Bron : projet de co-construction et de co-diffusion des connaissances sur le thème « ville durable, sociale et citoyenne » associant l’Ifsttar et la Ville de Bron.
Dates : 01/10/2014 - 01/06/2015
Financeur du projet : Projet coopératif avec partage des frais d’envoi de l’enquête par questionnaires entre l’Ifsttar et la ville de Bron
Implication du laboratoire : Le laboratoire est à l’origine du projet monté en lien avec la Directrice du CCAS et l’élue de Bron en charge des personnes âgées et a assuré sa coordination scientifique et sa réalisation.
Personnes impliquées au LESCOT : Aline Alauzet, Myriam Evennou
Objectifs :
- Mieux comprendre dans quelles situations de conduite la responsabilité des conducteurs âgés est fortement engagée et identifier les difficultés conscientes ou non que peut entrainer le vieillissement
- Proposer des actions de prévention et des programmes de réentraînement adaptés aux conducteurs âgés en les aidant à estimer correctement leurs compétences et à mettre en place des stratégies adaptées en conduite automobile
Coordination : C. Gabaude (Ifsttar-TS2-Lescot) & S. Lafont (Ifsttar-TS2-Umrestte)
Partenaire(s) : J.L. Martin (Ifsttar-TS2-Umrestte), L. Paire-Ficout (Ifsttar-TS2-Umrestte)
Dates : 06/11/2015 - 19/05/2018
Financeur du projet : Délégation à la Sécurité Routière
Implication du laboratoire : Réalisation d’une revue de question pour identifier les actions permettant de mieux accompagner les personnes âgées dans leurs choix de mobilité
Personnes impliquées au LESCOT : C. Gabaude, L. Paire-Ficout, M. Hay
Objectifs :
Ce projet vise à identifier et comprendre les mécanismes de production de cumuls d’inégalités d’accès aux transports pour les personnes handicapées - inégalités d’ordre social, territorial ou liées à la non accessibilité des transports. Une analyse quantitative (Ifsttar/Lescot et LET-ENTPE) a été entreprise à partir des enquêtes transport et enquêtes santé-handicap disponibles et a montré l’existence d’un effet de cumul de ces différents types d’inégalités sur la mobilité des personnes en situation de handicap. Le 2ème volet du projet, réalisé dans le cadre d’un post-doctorat au Lescot, vise le recueil de l’expérience des personnes handicapées et des acteurs associatifs et institutionnels, plus spécifiquement sur les modalités et les contraintes du choix résidentiel des personnes handicapées, en lien avec l’accès aux transports.
Coordination : Ifsttar-TS2-Lescot (Aline Alauzet)
Partenaires : LET-ENTPE (Pascal Pochet) - pour l’analyse quantitative.
Dates : 05/07/2013 - 11/04/2015
Financeur du projet : Financement PST Rhône-Alpes, Axe « Mobilités et inégalités » (MEDDE/DGITM, convention Certu-Ifsttar).
Implication du Laboratoire :
Outre l’analyse quantitative, le Lescot mène la partie recueil de terrain. Son objectif est d’analyser les facteurs intervenant dans les choix résidentiels des personnes handicapées, et d’identifier les obstacles à l'accès à un logement qui serait adapté à la fois en termes de localisation et d'adaptation intérieure, ainsi que les leviers d’action permettant de lever ces obstacles. L’analyse porte sur les besoins des personnes ayant des handicaps aussi bien moteurs que sensoriels, psychiques, mentaux ou cognitifs. Il s’agit d’identifier les contraintes pesant sur leurs choix résidentiels et d’analyser comment elles composent avec ces contraintes, avec un focus particulier sur la question du transport. Et ce par le biais du recueil de témoignages de personnes handicapées ainsi que de différents acteurs des domaines du handicap et du logement, sur le Grand Lyon.
Personnes impliquées au LESCOT : Aline Alauzet, Gwenaëlle Raton (post-doctorante)
Document(s) : ResumeProjetPST-RA_A2P2_Ifsttar-Certu
Publications : Raton, G. and Alauzet, A. (2014). Residential choices of persons with disabilities. Third Annual Conference of ALTER-European Society for Disability Research, Lisbon, July 3-4th 2014.
Objectifs :
Le projet (pour PRatiques de lOisir de la MOto sportive sur circuit : étude des effets potentiels sur la SECUrité Routière), financé par la Fondation MAIF dans le cadre d’un appel national à projet consacré « aux risques accidentologiques liés aux pratiques de loisir », s’est intéressé aux effets potentiels de la pratique sportive de la moto sur circuit de vitesse sur la sécurité routière. Il s’est plus spécifiquement agit de traiter de la question suivante: la pratique de la conduite à moto sur circuit fermé débouche-t-elle sur des comportements « à risque » sur route ouverte ou, à l’inverse, favorise-t-elle l’émergence de pratiques de conduite à moto plus apaisées sur la route, notamment chez les jeunes motocyclistes de profil « sportif » âgés de 18 à 25 ans ?
Coordination : IFSTTAR/TS2/LESCOT
Partenaires : Aurélie Banet (Psychologue indépendante), CEREMA
Dates : 18/10/2013 - 31/03/2017
Financeur du projet : Fondation Maif
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT était en charge du pilotage complet du projet, de la définition de la méthodologie jusqu’à l’analyse et la diffusion des résultats obtenus.
La méthodologie conçue et déployée pour PROMOSECUR comportait 3 volets :
- Une enquête à grande échelle diffusée sur le net (à laquelle ont répondu 2113 motocyclistes de tous âges et profils),
- Des questionnaires ciblés (administrés en ligne auprès de 177 motocyclistes de 5 profils différents),
- Un protocole expérimental (protocole CRITIC à base de séquences vidéo de scène routière, pour Common RIsk awareness measurement meThod for Inter-population Comparisons) permettant d’évaluer les compétences des motocyclistes en matière de « détection du danger sur la route » et « d’évaluation de la criticité des situations » de conduite rencontrées (utilisé auprès de 2 groupes de jeunes motocyclistes de profils sportifs, les uns pratiquant le circuit de vitesse et les autres ne le pratiquant pas).
Sans prétendre trancher de façon définitive sur la question de recherche initiale, ces travaux ont néanmoins permis de montrer que, comparativement à d’autres groupes de motocyclistes de profils similaires (i.e. jeunes motards âgés de 18 à 25 ans, adeptes de la moto sportive et intéressés par le circuit de vitesse), la pratique régulière du circuit de vitesse n’impactait pas négativement la sécurité de la conduite à moto sur route ouverte (même si les résultats sont plus contrastés pour les pratiquants occasionnels du circuit), bien au contraire. Ainsi, de l’enquête large, il ressort que certaines pratiques de conduite à risque (dites « arsouilles »), ou « courses sauvages » sur route ouverte, seraient plus limitées chez les jeunes pratiquant régulièrement le circuit que chez des motocyclistes de profil ne faisant pas de circuit. Des questionnaires ciblés, il ressort notamment un nombre d’infractions sur la route plus limité chez les pratiquants réguliers comparés aux pratiquants plus occasionnels et aux non-pratiquants du circuit. Enfin, du protocole CRITIC, il ressort (1) l’absence de toute forme de « surestimation de ses capacités de conduite à moto sur route » susceptible d’être induites par la pratique du circuit, ainsi (2) qu’une meilleure maîtrise émotionnelle (« peur » ressentie face à certaines situations de conduite et « colère » éprouvée), susceptible de déboucher sur une conduite « plus apaisée » de sa moto sur la route, du moins pour ce qui concerne « l’agressivité » ressentie et/ou manifestée vis-à-vis des autres usagers.
Personnes impliquées au LESCOT : Thierry Bellet
Lien : Présentation de synthèse
Objectifs :
Poursuite des travaux sur l’alcool avec localisation des effets stimulants ou sédatifs en fonction de la courbe montante et descendante du niveau d’alcool et de la durée de conduite.
Coordination : IFSTTAR-TS2-LMA (C. Berthelon)
Partenaires : IFSTTAR-TS2-LESCOT, IFSTTAR-COSYS-LEPSIS, Toyota Motor Europe
Dates : 27/09/2016 - 30/03/2018
Financeur du projet : TME (Toyota Motor Europe)
Implication du Laboratoire :
- État de l’art
- Mise en place méthodologique
- Suivi scientifique
- Dissémination
Personnes impliquées au LESCOT : FORT Alexandra, JALLAIS Christophe
Objectifs :
Le but de SAFEMOVE est d’aider les conducteurs âgés à maintenir leur mobilité par l’utilisation d’aides à la conduite adaptatives, et de supports d’apprentissage utilisant les simulateurs de conduite leur permettant d’adapter leurs habiletés de conduite aux changements physiologiques et cognitifs liés à l’âge.
Objectifs visés par le projet :
- Identifier les déterminant de la régulation de l’activité de conduite chez les conducteurs âgés, i.e. les facteurs qui contribuent à une sur ou une sous estimation des capacités cognitives et de l’habileté à la conduite
- Utiliser ces facteurs pour la conception d’un programme de training sur simulateur de conduite ainsi qu’un système de gestion de l’apprentissage
- Utiliser ces facteurs pour la conception d’un système interactif conducteur-véhicule pour superviser les systèmes d’assistance présents dans le véhicule
Coordination : Claude Marin-Lamellet, IFSTTAR /TS2/LESCOT
Partenaires : IFSTTAR/TS2/ LESCOT, Continental, Peugeot Citroën SA, CNRS U3413, IFSTTAR/TS2/UMRESTTE, INSERM ERI-27, Oktal, IFSTTAR LEPSIS. Ce projet est effectué en collaboration avec des partenaires suédois : le VTI et VOLVO
Dates : 01/12/2011 - 30/11/2015
Financeur du projet : ANR
Implication du Laboratoire :
En plus de la coordination du projet, le LESCOT est impliqué dans les trois sous parties suivantes :
- Etude de la performance de conduite de trois groupes de personnes âgées selon leur sous, sur ou correcte estimation de leur capacité cognitive telle que définie à partir de l’étude de cohorte. 75 conducteurs âgés ont réalisé un parcours en situation réelle de conduite ainsi qu’une analyse fine de leur performance cognitive
- Etude du bénéfice d’un programme de stimulation cognitive, dont l’une des composantes utilise des scénario de conduite pratiqués sur simulateur de conduite.
- Etude de l’activité de conduite à partir de données recueillies sur un véhicule instrumenté (complété par deux technologies continental), recherche de situations critiques et définition d’algorithme pour le monitoring de l’activité des conducteurs âgés, selon leur groupe d’appartenance
Personnes impliquées au LESCOT : Claude Marin-Lamellet, Catherine Gabaude, Laurence Paire-Ficout, Thierry Bellet, Marion Hay (doctorante), Jean christophe Paris (doctorant), Philippe Deleurence, Fabien Moreau, Cécilia Gabelle (cdd), Soumicha Beloul (cdd), Nicolas Adam (cdd)
Objectifs :
Le projet SERA (Sécurité Et Réalité Augmentée) a permis la réalisation d'un véhicule prototype avec système électronique automobile permettant un affichage sur le pare-brise en vision tête haute (appelée aussi Head-Up Display ou HUD) et en réalité augmentée (RA) des informations d’aide à la conduite issues du traitement des données d’environnement du véhicule (données véhicules et objets de la scène routière). Cette restitution se fait dans le champ de vision du conducteur avec un effet de perspective allant de 10 m à 50 m de distance. L’objectif est de communiquer des messages visuels au conducteur sans l’obliger à détourner son regard de la route.
Coordination : Visteon
Partenaires : Ifsttar/Lescot, Ifsttar/Lepsis, PSA, Université de Compiègne, Nexad
Dates : 03/11/2014 - 30/09/2017
Financeur du projet : Ministère FUI
Implication du LESCOT :
Responsable de la tâche « Ergonomie et sécurité des affichages en HUD - Réalité Augmentée » dans le projet.
- Identifier les fonctionnalités pertinentes à afficher sur le pare-brise du véhicule, en réalité augmentée, compte tenu des données en accidentologie et de la connaissance des capacités perceptivo-cognitives humaines en relation avec ce type d’affichage, et en prenant en compte les éventuelles limitations et contraintes techniques du dispositif.
- Définir une IHM pour afficher les informations sélectionnées à l’étape précédente en prenant en compte les particularités de l’environnement de conduite (masquage, contrainte technique du HUD, …) et les spécificités techniques du véhicule instrumenté.
- Réaliser les tests destinés à évaluer 1) le principe de l’affichage tête haute en HUD et en réalité augmentée, et 2) l'acceptabilité et la lisibilité des informations identifiées comme pertinentes
- Traiter les données issues des tests du véhicule prototype en situation réelle afin de finaliser des recommandations visant à améliorer la lisibilité, la visibilité et l’efficience de l’IHM.
Personnes impliquées : Annie Pauzié, Fabien Moreau
Références :
- Chapitre d’ouvrage
- Pauzié A., Head Up Display in Automotive: A New Reality for the Driver, Book & eBook “Design, User Experience, and Usability: Interactive Experience Design », Springer (ed.), 2015.
- Rapports
- Pauzié, A., 2015, Spécification des fonctionnalités à afficher en HUD-RA compte tenu des priorités sécuritaires, de l’aspect innovant et de la faisabilité technique, Livrable 2.1, projet SERA, Mai 2015, 59 p.
- Pauzié A., Ferhat L., Kaddouri H. & Moreau F., Tests exploratoires de sécurité et d’acceptabilité, lot 9, projet SERA, Décembre 2016.
- Ferhat L., Pauzié A., Moreau F. & Kaddouri H., Tests de sécurité et d’acceptabilité en contexte routier diversifié, lot 10, projet SERA, 85 p., Juillet 2017.
Objectifs :
Les conducteurs professionnels diffèrent des autres conducteurs en bien des aspects. Ils effectuent un nombre beaucoup plus élevé de kilomètres annuellement et sont souvent tenus de planifier une partie de leur activité professionnelle au volant, en utilisant leur téléphone ou d’autres systèmes nomades qui ne sont pas toujours conçus à cet effet. Cette étude avait pour objectifs principaux de mieux connaitre : - Les modes d’usage et types d’équipements en téléphonie mobile et autres systèmes par différentes populations de professionnels, - Les motivations, les besoins et l’acceptabilité de ces populations d’utiliser le téléphone pendant leurs déplacements professionnels.
Coordination : IFSTTAR/TS2/LESCOT
Dates : 25/11/2015 – 31/05/2018
Financeurs du projet : DSR (Ministère)
Implication du Laboratoire :
Tout d’abord, des focus groupes ont permis de répertorier les équipements et les modes d’usage de la téléphonie mobile des conducteurs professionnels lorsqu’ils sont sur la route. Les motivations, les besoins et l’acceptabilité de ces systèmes ont également été discutés. Cette première phase a servi de base pour construire un questionnaire administré auprès de 850 travailleurs qui se déplacent dans le cadre de leur travail, qu’ils soient professionnels de la route ou professionnels mobiles, les déplacements domicile-travail étant exclus de l’analyse.
Personnes impliquées au LESCOT : Marie-Pierre Bruyas, Myriam Evennou, Hugues Julliand (CDD)
Objectifs :
L’objectif de ce projet est, d’une part, d’identifier les situations et les conditions dans lesquelles les cyclistes déclarent avoir été peu ou pas vus par les autres usagers de la route et, d’autre part, de vérifier si les automobilistes rencontrent effectivement des difficultés pour les détecter dans ces circonstances. Une analyse de données quantitatives et qualitatives d’accidents sera faite ainsi qu’une étude en contexte naturel avec une cohorte de cyclistes observés sur Lyon et Paris. En plus des situations et conditions dans lesquelles les cyclistes sont peu visibles, l’analyse des données d’accidents et l’étude en contexte naturel serviront à identifier des comportements et/ou des équipements des cyclistes qui leurs permettraient d’être plus visibles. L’effet de ces comportements et/ou équipements sur la détection des cyclistes par les automobilistes sera testé dans une étude réalisée sur simulateur.
Coordination : Joceline Rogé, LESCOT, IFSTTAR
Partenaires :
- UMRESTTE : Unité Mixte de Recherche Epidémiologique et de Surveillance en Transport Travail Environnement, IFSTTAR
- LEPSIS : Laboratoire Exploitation, Perception, Simulateurs et Simulations,
- IFSTTAR EMC : Laboratoire d’Etude des Mécanismes Cognitifs, Université de Lyon
Dates : 20/11/2013 - 19/05/2017
Financeur du projet : Fondation Sécurité Routière
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT est porteur du projet.
Le LESCOT est plus particulièrement impliqué dans l’évaluation de la capacité des automobilistes à détecter les cyclistes. Il réalisera l’étude expérimentale sur simulateur de conduite automobile afin de comprendre les situations dans lesquelles les cyclistes rapportent qu’ils sont peu visibles pour les usagers motorisés. La visibilité réelle des cyclistes pour les automobilistes sera quantifiée en termes de distance de visibilité.
Un autre objectif de ce projet sera de savoir si les cyclistes sont, de fait, mieux perçus par les automobilistes s’ils sont équipés de systèmes d’aide à la visibilité ou s’ils adoptent certains comportements de déplacements spécifiques afin d’être plus facilement détectés par les autres usagers. Le gain réel apporté par ces systèmes ou ces comportements sera quantifié précisément dans des situations définies à l’avance.
Personnes impliquées au LESCOT: Joceline Rogé
Entre 2011 et 2015
Objectifs :
On constate le développement de moyens de déplacement individuels variés : segway (gyropodes), scooters électriques (tricycles ou quadricycles), trottinettes électriques, etc. Leur liste n’est d’ailleurs probablement pas figée et d’autres sont susceptibles d’être inventés. Cet essor a des impacts sur plusieurs volets de la mobilité des personnes. Ces nouveaux moyens de déplacement individuels n’entrent pas dans les cadres juridiques existants (en particulier le code de la route) ce qui rend difficile leur appréhension ; toutefois, il apparaît qu’ils constituent une réponse aux besoins de personnes dont la mobilité est réduite. A cet égard, ils peuvent contribuer à ralentir, atténuer ou compenser une gêne ou une défaillance physique sans être aussi stigmatisant qu’un fauteuil roulant.
Les objectifs de cette étude sont :
- de dresser une comparaison internationale / européenne sur ces questions, en reprenant les études déjà réalisées sur le sujet
- de procéder à une étude sur le comportement de ces nouvelles aides à la mobilité notamment en cas de freinage d’urgence
- d’identifier les règles de construction et d’exploitation à modifier
Coordination : Claude Marin-Lamellet (IFSTTAR-TS2-LESCOT)
Partenaires : IFSTTAR-TS2-LBMC, Ergoptim
Dates : 01/11/2013 - 31/10/2014
Financeur du projet : DGITM
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT est impliqué dans l’état de l’art, les entretiens avec les acteurs du domaine et les recommandations
Personnes impliquées au LESCOT : C. Marin-Lamellet
Objectifs :
Au cours des dernières années, de nombreux systèmes d’assistance sont apparus en vue de faciliter la tâche de conduite. Dans le cadre de ce projet, deux systèmes seront étudiés : le système d’alerte anti-collision et le système d’avertissement de sortie de voie ou de route. Ces systèmes peuvent être utiles pour anticiper, alerter ou éviter de potentiels accidents, en réorientant l’attention des conducteurs sur les situations à risque. Cependant, derrière leurs effets bénéfiques, de nouvelles questions restent encore à étudier. A partir d’expériences sur simulateur de conduite, ce projet vise à étudier deux facteurs qui influencent l’efficacité et l’acceptabilité (en lien avec le stress ressenti des usagers) de ces systèmes : la fiabilité du système et le moment de déclenchement de l’alerte. Les résultats de ce projet pourront intéresser le secteur industriel, en permettant la formulation de recommandations pour la conception des systèmes d’aide à la conduite.
Coordination : Alexandra Fort, IFSTTAR/TS2/LESCOT
Partenaires : IFSTTAR/COSYS/ LEPSIS, EMC-université Lyon 2
Dates : 01/10/2012 - 30/09/2014
Financeur du projet : FSR
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT coordonne ce projet et est responsable des études portant sur les systèmes d’alerte anti-collision.
Personnes impliquées au LESCOT : Alexandra Fort, Christophe Jallais, Mercedes Bueno-Garcia, Sébastian Gautier, Fabien Moreau
Objectifs :
Le projet ATLAS vise à évaluer l'impact d'une source particulière d'inattention sur le comportement du conducteur : les pensées internes. Celles-ci ont la particularité d'être à la fois très envahissantes (du fait de la mobilisation du système de traitement de l'information au moment de la résolution du problème) et durables. La pluridisciplinarité au sein du projet (épidémiologie, psychologie cognitive, neuro-physiologie, mathématiques et automatique) est son caractère novateur. Au niveau épidémiologique, il s’agira d’identifier quelles sont les populations et les situations à risque. Puis, les méthodes de la psychologie expérimentale permettront, sur les populations et les situations identifiées, de comprendre les conséquences des différentes formes d’inattention (dans la prise et le traitement de l’information, dans le comportement en situation normale et dans le comportement face au risque) au niveau comportemental et électro-physiologique. Cette démarche permettra d’extraire des données véhicules des indices comportementaux modifiés par l’inattention, tant dans les situations jugées critiques que dans les situations usuelles. Ces indices serviront à terme à détecter en temps réel les défauts d’attention du conducteur.
Coordination : IFSTTAR (ex-INRETS)
Partenaires : IFSTTAR (ex-INRETS), INSERM U697 - PPCT, CLLE-LTC, Continental, LM-PXI
Dates : 01/10/2009 - 30/09/2012
Type de projet : Projet ANR
Implication du LESCOT :
Le projet est coordonné par le LESCOT. Au niveau scientifique, la contribution du LESCOT porte d’une part, sur l’analyse des effets des inattentions sur la conduite par une approche expérimentale sur simulateur de conduite et d’autre part sur l’identification d’indices comportementaux pouvant prédire les inattentions du conducteur.
Personnes impliquées : Catherine Gabaude, Alexandra Fort, Arnaud Bonnard, Fabien Moreau, Daniel Letisserand, Odette Reisser Chanut, Philippe Deleurence
Objectifs :
Cette recherche s’intéresse aux troubles exécutifs qui se manifestent suite à un traumatisme crânien (TC) ou un accident vasculaire cérébral (AVC) et à leurs possibles implications sur la compétence de conduite des patients concernés. En effet, de nombreux travaux montrent que les personnes cérébrolésées présentent des troubles cognitifs qui sont de nature à impacter les capacités à conduire d’une façon sure.
Cette recherche comprend deux volets expérimentaux ; l’un mettant en œuvre un simulateur de conduite et l’autre consistant en une étude en situation réelle de conduite sur route.
L’expérimentation sur simulateur n’a pas donnée de résultats exploitables, en raison de difficultés dans l’inclusion des participants et la fragilité de ceux qui ont pu être inclus mais qui ont eu des difficultés à réaliser l’expérimentation.
Les résultats de l’étude en situation réelle de conduite sur route indiquent que les conducteurs TC gardent des séquelles neurologiques qui impactent toujours, plusieurs années après, leurs fonctions exécutives et leur façon de gérer la conduite automobile. Certains conducteurs TC présentent dans l’ensemble une gestion de la conduite sécuritaire, mais ils ne semblent pas disposer de la « marge de manœuvre » suffisante pour gérer une situation critique compte tenu de leurs capacités. De plus, ils ont une faible perception de leurs déficits et il serait certainement utile pour eux d’avoir à intervalle régulier des séances de conduite encadrées par un professionnel.
Les conducteurs ayant subi un AVC semblent être un peu moins concernés par les erreurs de conduite que les TC et présentent dans l’ensemble une meilleure perception de leur état fonctionnel, peut-être parce qu’ils ont plus fréquemment des séquelles « visibles » comme des hémiplégies légères ou des troubles du langage. Cependant, le groupe d’AVC étudié dans ce travail étant limité, une autre étude sur un groupe plus large devra confirmer ce résultat.
Coordination : IFSTTAR/TS2/LESCOT (ex-INRETS LESCOT) (C. Marin-Lamellet)
Partenaires : IFSTTAR/COSYS/LEPSIS (ex-INRETS LEPSIS), Hôpital Henri Gabrielle, L’ADAPT Rhône
Dates : 01/01/2008 - 31/12/2011
Type de projet : ANR
Implication du Laboratoire : L'IFSTTAR/TS2/LESCOT (ex-INRETS) a coordonné le projet et réalisé les deux volets expérimentaux en collaboration avec les partenaires du projet.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet, Virginie Etienne, Arnaud Bonnard, Fabien Moreau, Daniel Letisserand, Philippe Deleurence, Bruno Piechnik
Objectif :
L’objectif du projet DriveCog est d’analyser le comportement de conduite en situation naturelle (naturalistic driving) de patients présentant une maladie d’Alzheimer et de sujets contrôles. Une caméra est placée dans le propre véhicule des participants pendant un mois. Chaque enregistrement vidéo est ensuite analysé dans l’intégralité par deux experts psychologues (double codage) qui évaluent l’activité de conduite selon différents critères à partir d’une grille type (adaptation de la vitesse, des distances de sécurité, respect de la signalisation, anticipation…). Tous les incidents de conduite survenus pendant le mois sont consignés.
Les participants sont recrutés sur trois sites : CHU de Reims, de Paris et de Strasbourg. Des données cliniques (tests cognitifs) et données de mobilité sont également recueillies. Au 12 mai 2014, 30 participants étaient inclus dans l’étude. La double lecture et le codage de l’activité de conduite ont été réalisés pour 15 personnes. La période d’inclusion devrait se terminer en juin 2014.
Coordination : Jean-Luc Novella (CHU de Reims)
Partenaires : IFSTTAR-TS2-UMRESTTE, Centre de Gérontologie, Hôpital Sainte Périne, Paris Service de neurologie, CHU de Strasbourg, USR CNRS 3413, Université Victor Segalen Bordeaux 2 AXON’ CABLE SAS, Montmirail
Dates : 01/09/2011 - 31/03/2015
Financeur du projet : PHRC
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT, en collaboration avec l’UMRESTTE, est chargé de proposer une stratégie d’analyse des vidéos et de procéder à l’évaluation complète des enregistrements envoyés par les différents sites expérimentaux (Reims-Paris-Strasbourg).
Personnes impliquées au LESCOT : Laurence Paire-Ficout, Fanny Conte, Cécilia Gabel
Document(s) : Protocole PHRC DriveCog
Objectifs :
Comparer l'efficacité de deux programmes d’entrainement destinés aux conducteurs âgés qui n’estiment pas correctement leurs capacités cognitives : un programme d'entraînement cognitif versus un entraînement cognitif associé à une expérience de conduite en simulateur.
Coordination : IFSTTAR-TS2-LESCOT (C. Gabaude)
Partenaires : J. Navarro (Univ.Lyon2-EMC)
Dates : 01/01/2013 - 15/12/2015
Financeur du projet : Région Rhône-Alpes
Implication du LESCOT : Réalisation complète de l’étude.
Personnes impliquées : C. Gabaude, M. Hay & N. Adam
Objectifs :
Ce projet veut contribuer à rendre les voitures plus sûres et plus ergonomiques, en intégrant les technologies de l’information et de la communication, en particulier les automates d’assistance à la conduite. Il se concentre sur la fonction de prévention des sorties involontaires de voie, en virage ou en ligne droite, grâce à des observateurs de défaillance de trajectoire pour la prévention et de détection de situations à risque et de défaillances humaines, en agissant en anticipation des dispositifs de type ESP. Il traite par conséquent de la problématique de la Coopération Homme-Machine, en s’intéressant ainsi à la question du partage des responsabilités entre le conducteur et les dispositifs d’assistance dans le contrôle du véhicule, en considérant notamment les problèmes d’acceptabilité des automates, de styles de conduite (différences individuelles) ou de distraction. Bien que focalisé en priorité sur le contrôle latéral, ce projet préoccupera néanmoins de l’intégration des fonctions de contrôle latéral et longitudinal de la trajectoire, notamment dans le cadre de l’adaptation de la vitesse du véhicule en approche de virage.
Coordination : Ecole Centrale de Nantes Partenaires : CNRS – IRCCyN, Université de Rennes 2 – CRPCC, CNRS – IBISC, IFFSTAR-TS2-LESCOT (ex INRETS / LESCOT), IFSTTAR (ex INRETS/LCPC), IFSTTAR-COSYS-LIVIC (ex INRETS / LIVIC), OKTAL, Renault
Dates : 01/12/2008 - 30/11/2011
Type de projet : ANR
Implication du LESCOT :
Proposer un modèle d’analyse temps réel de l'activité de conduite permettant de juger de l'adéquation des comportements du conducteur et des difficultés qu’il rencontre, au regard des risques de sortie de la trajectoire sécurisée. In fine, l’objectif est de concevoir et de développer des algorithmes d’estimation « temps réel » des risques de sortie de trajectoire(s) sécurisée(s), en vue de spécifier la nature et la forme de l’assistance requise dans les conditions de conduite du moment (c’est-à-dire l’adaptation temps réel de la CHM)
Personnes impliquées : Thierry Bellet, Arnaud Bonnard, Philippe Deleurence, Fabien Moreau
Objectifs :
Ce projet avait pour objectif de développer une solution innovante de système de sécurisation pour matériel embarqué d’aide à l’accès aux trains aux voyageurs à mobilité réduite (Transilien, TER, Grandes lignes). Ce projet comportait deux aspects imbriqués, celui d’une innovation technologique appliquée dans le cadre d’une infrastructure de transport collectif, concernant du matériel Ile-de-France et grandes lignes, et celui d’une innovation sociale permettant aux voyageurs à mobilité réduite de s’intégrer dans le flux standard des usagers pour accéder aux trains. La diversité des hauteurs de quai des gares et des différentes hauteurs de planchers des matériels a conduit à s’orienter vers une solution basée sur un système mécatronique embarqué de comblement de la lacune quai/train mettant à niveau les accès quai/voiture et éventuellement associé à une modification raisonnable de l’infrastructure fixe.
Le projet se déroule en 2 phases :
- Phase 1: Préconisation des solutions optimales à partir d’un état de l’art existant
- Phase 2: Réalisation de prototypes
Coordination : SNCF
Partenaires :
- SNCF
- ALSTOM
- IFSTTAR/TS2/LESCOT (ex INRETS/LESCOT)
- Laboratoire d’ethnologie des mondes contemporains de l’université Paris 7
- Réseau Ferré de France
- Vitech
- CEA LIST (Laboratoire d’intégration des systèmes et des technologies)
Dates : 01/01/2005 - 31/12/2011
Financeur projet : PREDIT
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT est intervenu en phase 1 et 2.
Phase 1:
- Etude de l’environnement social : détermination des publics susceptibles d’être concernés, des difficultés et des besoins de ces usagers
- Analyse des solutions existantes (techniques, organisationnelles, fonctionnelles…)
- Identification de critères d’accessibilité.
Phase 2:
- Développement de prototypes : suivi de la mise en oeuvre des recommandations de la phase 1 en termes d'ergonomie et de sécurité, développement de l’interfaçage matériel roulant / infrastructures (modifications à apporter dans le couple infrastructure/ matériel roulant).
- Expérimentation : Tests de validation pour l’utilisabilité par les usagers à mobilité réduite, les exploitants et les autres usagers.
- Analyse organisationnelle pour l’intégration du système dans le contexte écologique.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet, Céline Grange-Faivre, Aline Alauzet
Document(s) à télécharger : résultats phase1.pdf
Objectifs :
Peu de données existent sur les habitudes et les stratégies de déplacement des personnes déficientes visuelles dans les transports en commun et notamment lors des cheminements multimodaux .Cette recherche propose donc d'aborder deux axes de connaissances :
- Les situations d’intermodalité dans la chaine de mobilité : Il s’agira d’identifier les composantes physiques (cheminements, systèmes d’information, espaces, systèmes de billettiques) et les composantes organisationnelles afin de constituer une caractérisation des situations rencontrées (typologie).
- Les déplacements multimodaux (transport ferré/transport en commun par exemple) conduits par des personnes déficientes visuelles :
- Les pratiques des pôles d’échanges
- Les stratégies d’orientation et d’information
- La conduite de tâches complexes connexes (notamment l'achat de billets)
Ce projet permettra de mettre en exergue les problématiques (aménagement, information voyageur, etc.) qui complexifient l’interconnexion des modes et réseaux de transport et impactent sur la continuité du cheminement pour les personnes en situation de handicap.L’analyse croisée menée entre les conceptions de pôle d’échanges (approches AOT et exploitant) et les difficultés analysées pour les personnes déficientes visuelles (voire plus largement des seniors) permettra d’identifier des recommandations influençant les conceptions futures.
Coordinateur : Chloé Pageot, Street Lab (Institut de la vision)
Partenaires : Ergoptim, IFSTTAR TS2 LESCOT
Dates : 01/09/2013 - 31/10/2015
Financeur du projet : PREDIT 3
implication du Laboratoire : Le LESCOT apporte son expertise dans l’ensemble des taches du projet, y compris pour les phases de collecte de données en situation réelle de déplacement.
Personnes impliquées au LESCOT : Claude Marin-Lamellet, Caroline Pigeon, Fabien Moreau
Objectifs :
Il n’existe pas de système de direction assistée adapté aux capacités articulaires (rhumatismes divers), musculaires (diminution de force, sénescence), ou encore aux douleurs ressenties par le conducteur, ce qui constitue une insuffisance dès lors que l’on s’intéresse aux conducteurs à mobilité réduite (ex. personne âgée, handicapée)
Le projet VOLHAND visait à développer une nouvelle génération de direction assistée électrique qui tienne compte des caractéristiques des conducteurs à mobilité réduite. Afin de commercialiser ce nouveau produit dans les plus brefs délais, il était prévu de choisir une direction assistée électrique existante sur le marché, et de la modifier de manière suffisante et adaptée pour tenir compte des spécificités des personnes à mobilité réduite.
Coordination : Philippe Pudlo (LAMIH, Université de Valencienne)
Partenaires : IFSTTAR-COSYS-LIVIC (ex INRETS LIVIC), fondation Hopale, CRHU Lille, JTEKT, Gipsa Lab (CNRS Grenoble)
Dates : 01/01/2009 - 31/12/2012
Financeur du projet : ANR
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT a été impliqué dans la conception des protocoles expérimentaux des études sur la plateforme de mesure des efforts au volant et sur la plateforme de simulation, ainsi que dans la réalisation et l’analyse de questionnaires d’évaluation subjective des efforts consentis.
Le projet ayant rencontré de nombreux problèmes techniques, un démonstrateur n’a pas pu être produit par le LAMIH et donc l’évaluation finale sur piste qui devait être réalisée avec le LIVIC n’a pas pu avoir lieu.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet
Jusqu'en 2010
Objectifs :
Le projet BIOVAM (Besoin en information et en orientation des voyageurs aveugles ou malvoyants dans les transports collectifs) a été coordonné par l’INRETS entre 1997 et 2002, avec comme partenaire la SNCF, la RATP et l’APAM (Association pour les Personnes Aveugles ou Malvoyantes).
Ce projet a été financé par le PREDIT dans le cadre du groupe thématique « Nouveaux services aux usagers ».
Dans le cadre de ce projet, 173 personnes aveugles ou malvoyantes ont participé à une expérimentation qui consistait à effectuer un trajet complexe dans une gare ou dans une station de RER en utilisant un dispositif d’aide à la navigation constitué d’un système d’information vocale et d’un marquage podotactile (bandes en relief sur le sol). Les résultats issus de ce projet ont permis, au-delà de la validation méthodologique, d’établir des recommandations concernant l’aménagement des espaces de transports afin d’exploiter au mieux les fonctionnalités des systèmes d’aide à la navigation sans surcharger la personnes aveugle ou malvoyante et compromettre sa sécurité.
Coordination : IFSTTAR-TS2-LESCOT (ex INRETS/LESCOT)
Partenaires : SNCF, RATP, APAM
Dates : 01/01/1997 - 31/12/2002
Type de projet : Projet PREDIT 1 ET 2
Implication du LESCOT :
L’INRETS LESCOT a été le coordinateur du projet. Par ailleurs, l'IFSTTAR-TS2-LESCOT (ex INRETS/LESCOT) a réalisé avec le laboratoire d’Ergonomie de l’université Claude Bernard Lyon 1 et l’APAM, la réalisation et l’exploitation des expérimentations.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet
Document(s) : plaquette_BIOVAM.pdf
Objectifs :
- Participer à la production de connaissances destinées à comprendre les mécanismes à l’origine des dysfonctionnements de l’attention
- Etudier les effets des défauts d’attention sur la conduite automobile et les conséquences qui peuvent en découler en termes d’accident
- Favoriser la pluridisciplinarité et l’interpénétration des disciplines
- S’accorder sur les définitions de certains concepts (glossaire) et permettre la mise en commun de méthodes et outils de recherche
Cinq actions de recherche :
- AR 1 : Les processus visuo-attentionnels impliqués dans le franchissement d’une intersection de type « tourne à gauche »
- AR 2 : L’utilisation des systèmes de confort en automobile : Impacts sur la Focalisation, l’Inhibition, la Distraction et l’Inattention du conducteur
- AR 3: Effets aigus et résiduels des hypnotiques, des antalgiques et de l’alcool pris seuls ou en association sur la conduite automobile, la vigilance et les fonctions attentionnelles des personnes âgées
- AR 4 : Attention, sélection de l’information pertinente, et conscience de la situation
- AR 5 : De l’Attention à la prise de décision
Coordination : IFSTTAR-TS2-LESCOT (ex INRETS/LESCOT) (André CHAPON et Catherine GABAUDE), ERT
Partenaires :
- ULy2 : Université Lyon 2 : Laboratoire d’étude des mécanismes cognitifs (EMC) & Laboratoire d’étude et d’analyse de la cognition et des modèles (LEACM).
- VEC : INSERM Lyon (U371, Vision et Cerveau)
- LTC : Université Toulouse Le Mirail (Laboratoire Travail et Cognition)
- LAB : Laboratoire d’Accidentologie, de Biomécanique et d’étude des comportements humains (GIE PSA-Renault)
- ANG : Université d’Angers (Laboratoire de Psychologie, UPRES EA 2646)
- REN : Université de Haute Bretagne (Laboratoire de Psychologie Expérimentale, CRP2C, UPRES EA 1285)
- CEPA : Centre d’Etude de Psychologie Appliquée, CNRS UPS 858
- LORD : Laboratoire Jacques LORDAT, Université Toulouse 2
- CAEN : Université de Caen, (UFR Médecine & UFR STAPS)
- LCU : Université Paris VIII (Laboratoire Cognition et Usages)
- LPL : Université de Provence (Laboratoire Parole et Langage)
- ISPED : INSERM U593 Bordeaux (Institut de Santé Publique,d’Epidémiologie et de Développement)
- MMB : INSA - Université Lyon1 (Laboratoire Physique de la Matière, URM 5511, Microcapteurs, Microsystèmes Biomédicaux)
Dates : 01/01/2005 - 31/12/2008
Type de projet : Projet Fédérateur (en lien avec RESAT)
Implication du LESCOT : AR1, AR4, AR5 et coordination des AR.
Personnes impliquées : Aurélie Banet, Béatrice Bailly-Asuni, Julie Borgetto, Thierry Bellet, Arnaud Bonnard, Marie-Pierre Bruyas, André Chapon, Nicolas Dapzol, Alexandra Fort, Catherine Gabaude, Céline Goupil, Zahra Haddab, Houda Hamama, Claude Marin-Lamellet, Laurence Paire-Ficout, Christophe Jallais
Document(s) :Dacota_Rapport_final.pdf
Objectifs :
Cette recherche avait pour objectifs d’évaluer, chez des conducteurs ayant subi un traumatisme crânien, la dynamique d'évolution des fonctions cognitives (exécutives) par une approche longitudinale et d’étudier la compétence de conduite de ces conducteurs. Dans ce but, les patients sélectionnés effectuaient un bilan neuropsychologique à leur entrée dans le centre de réadaptation fonctionnelle, à leur sortie et un an après ; une observation structurée de la conduite était effectuée en situation réelle de conduite au moment de la sortie du centre de réadaptation fonctionnelle.
Coordination : IFSTTAR-TS2-LESCOT (C. Marin-Lamellet)
Partenaires : Centres de Réadaptation fonctionnelles, Université Lyon 2 (Laboratoire EMC)
Dates : 01/01/2003 - 31/12/2007
Type de projet : Convention CNSR/IFSTTAR-TS2-LESCOT (ex-INRETS/LESCOT) N°2003/092/T
Implication du LESCOT : Le LESCOT a réalisé l’intégralité des travaux relatifs à ce projet, c'est-à-dire les bilans neuropsychologiques et les observations structurées en situation réelle de conduite.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet, Virginie Etienne, Catherine Gabaude, Céline Goupil
Document(s) : ecotraca.pdf
Objectifs :
L’étude a pour objet d’analyser les difficultés rencontrées par les personnes en fauteuil roulant pour franchir les lacunes quai-seuil des transports guidés (tramways, métros et bus guidés). Elle est menée à l’aide d’une expérimentation, avec pour objectif de fournir une aide à la détermination des lacunes maximales (horizontale et verticale) nez de quai / seuil du véhicule permettant aux personnes handicapées de monter à bord des transports guidés – et d’en descendre, avec la plus grande autonomie.
Coordination : IFSTTAR-TS2-LESCOT (ex-Inrets/Lescot)
Partenaires : Unex (construction maquette): Richard Roussillon
Dates : 01/09/2008 - 31/08/2009
Type de projet : Commande de la DGMT (MEEDAD)
Implication du LESCOT : Le Lescot a été chargé de concevoir et de réaliser l'étude.
Personnes impliquées : Céline Grange-Faivre, Aline Alauzet, Claude Marin-Lamellet, Noémie Rénier, Nicolas Dapzol, Vincent Blanchet, Elodie Gigout
Objectifs :
Dans un contexte de développement du concept de mobilité durable, la conjonction de la progression de la mobilité des personnes et l’évolution des technologies conduit à une accélération significative du développement des services basés sur la localisation par satellites (LBS). Labellisé par deux pôles de compétitivité : le pôle toulousain « AESE » et le pôle lyonnais « LUTB 2015 », le projet MOBIVILLE vise le développement d’un service d’information mobile du voyageur multimodal se déplaçant dans le réseau de transport collectif. Plus précisément, ce service, disponible sur un téléphone mobile A-GPS, consiste à guider le voyageur quant à l’utilisation de différents modes urbains de déplacement :
- transports collectifs (bus, métro, tramway, trolleybus, funiculaire), prenant en compte les perturbations du réseau et les horaires de passage aux arrêts mis à jour en temps réel
- parc public de vélos en libre service disponible à Lyon (Vélo’v), en indiquant la localisation et le nombre de vélos et de places disponibles pour chaque station
- piéton en indiquant la position du voyageur, la position des arrêts de bus et des stations de métro, et la destination, sur fond cartographique
Le projet place l’utilisateur au cœur de la mise au point de ce service innovant avec une démarche intégrée de prise en compte des aspects ergonomiques tout au long du projet. Ce projet vise le développement de la chaîne technique complète sur le réseau lyonnais, des bases de données des exploitants à la présentation de l’information au client, en s’appuyant sur une définition précise des cas d’usage. Les choix techniques matériels et logiciels s’appuient sur une définition des besoins opérationnels de MOBIVILLE et sur une plateforme matérielle et logicielle générique pour l’hébergement d’applications basées sur la géolocalisation de terminaux mobiles. Le processus d’élaboration des spécifications fonctionnelles se fait à l’aide d’une modélisation par cas d’utilisation UML décrivant des scénarios d’utilisation nominaux et dégradés. Le projet s’inscrit dans une démarche itérative de co-conception entre les différents partenaires du projet issus des métiers de la localisation par satellites, du transport public et de l’ergonomie pour les transports et leur sécurité et inclut des utilisateurs finaux dès les phases amont.
Coordination : Artal Partenaires : SYTRAL, Keolis SA, Keolis Lyon, IFSTTAR (ex INRETS), Canal TP, Grand Lyon, Algoé
Dates : 01/09/2008 - 31/08/2009
Type de projet : Projet financé par le Ministère français de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Direction Générale Entreprises, dans le cadre du programme ULISS
Implication du LESCOT :
Dans un premier temps, des règles d’ergonomie ont été définies, basées sur la connaissance antérieure des besoins des voyageurs en déplacement multimodal, et adaptées au contexte du téléphone mobile, ainsi que sur les recommandations ergonomiques de conception existantes. Ce travail a abouti à la réalisation d’une maquette ergonomique pour spécifier les fonctionnalités de l’application, le design de l’interface, les modalités de dialogue et de navigation, les standards pictographiques pertinents pour le service.
Dans un second temps, la démarche prévoit la mise en œuvre de deux expérimentations « grandeur réelle » auprès d’une centaine d’utilisateurs, permettant une évaluation du service à plusieurs stades de sa mise au point technique.
Personnes impliquées : Annie Pauzié, Houda Hamama, Anthony Bathsavanis
Document : posterMOBIVILLE-1.pdf
Objectifs :
Le projet POTAS avait pour objectif d’analyser les limitations d’activités et les restrictions de participation à la vie sociale des personnes en situation de handicap du point de vue de l’usage des transports. Son objectif du projet POTAS était d’identifier ces personnes, d’analyser leurs pratiques de déplacement en affinant la connaissance des situations de handicap rencontrées et en déterminant des profils selon les différentes situations de handicap. Outre l’analyse des différents types de situations de handicap rencontrées dans les transports, réalisée par le biais de l’exploitation de grandes enquêtes sur le transport et le handicap, l’objectif était de réaliser un focus sur les difficultés rencontrées par les personnes en situation de handicap mental, psychique ou cognitif dans l’usage des systèmes de transport, à l’aide d’une enquête de terrain.
Coordination : Lescot (Responsable Aline Alauzet)
Partenaires : CTNERHI (Centre technique national d’études et de recherches sur les handicaps et les inadaptations) – Jésus Sanchez, Dominique Velche
Dates : 01/02/2008 - 30/04/2010
Financeur du projet : IReSP (Inserm)
Implication du Laboratoire :
Outre la coordination du projet, le Lescot a pris en charge l’ensemble des analyses réalisées à partir des données d’enquêtes centrées sur le transport (ENTD 2007-2008, EGT 2001) et sur le handicap (HID 1999). Le Lescot a également conçu, réalisé et exploité l’enquête de terrain effectuée auprès de personnes ayant des handicaps mentaux, psychiques ou cognitifs. Un rapport de recherche a été rédigé sur chacune de ces deux phases du projet.
Personnes impliquées au LESCOT : Aline Alauzet, Fanny Conte (CDD)
Documents :
Publications :
- Alauzet, A. (2011). Les personnes qui rencontrent des situations de handicap dans les transports et leurs pratiques de déplacement. Séminaire de clôture de l'appel IReSP "Le handicap, un nouvel enjeu de santé publique", Paris, 04 mai 2011.
- Alauzet, A., Sanchez, J. and Velche, D. (2010). Les personnes qui rencontrent des situations de handicap dans les transports et leurs pratiques de déplacement. Tome 1 du rapport final du projet POTAS (Financement GIS-IReSP) - Juin 2010, Rapport Lescot n°1001, INRETS et CTNERHI, Bron, Septembre 2010, 96 p.
- Alauzet, A., Conte, F., Sanchez, J. and Velche, D. (2010). Les personnes en situation de handicap mental, psychique ou cognitif et l’usage des transports. Tome 2 du rapport final du projet POTAS (Financement GIS-IReSP) - Juin 2010, Rapport Lescot n°1002, INRETS et CTNERHI, Bron, Septembre 2010, 141 p.Alauzet, A., Sanchez, J. and Velche, D. (2009). Pratiques de déplacement des personnes en situation de handicap dans les transports (projet POTAS). Séminaire mi-parcours de l'appel IReSP "Le handicap, un nouvel enjeu de santé publique", Paris, 12 juin 2009.
Objectifs :
Révéler les mécanismes sociaux, administratifs ou techniques qui influencent de manière positive ou négative la politique de mise en accessibilité des réseaux de transports collectifs de Lyon et de Stuttgart, tel est l'objectif de ce projet de recherche. Un examen minutieux des cas lyonnais et stuttgartois a montré que l’accessibilité au transport des personnes handicapées constituait un problème public soumis à des contraintes et des enjeux multiples. Il est ainsi indéniable que la structuration de la demande sociétale et ses modes d’expression jouent un rôle crucial dans l’élaboration de la politique locale. Mais celle-ci est également contingente aux choix techniques et politiques passés. L’analyse des réseaux lyonnais et stuttgartois révèle en outre que la légitimité de l’instrument juridique dépend fortement de la crédibilité technique de ses prescriptions. Le service de transport spécialisé est également une composante de la politique locale d’accessibilité : son niveau de service, sa tarification et les conditions d’éligibilité sont autant de leviers dans les mains de l’autorité organisatrice des transports pour orienter le comportement des personnes handicapées. Enfin les politiques locales d’accessibilité sont aussi influencées par divers facteurs, culturels et autres, comme cela a pu être constaté concernant le type de palette dans les bus et les bandes podotactiles.
Coordination : INRETS/LESCOT
Partenaires : IFSTTAR (ex-INRETS), LTN
Dates : 01/01/2004 - 30/12/2006
Type de projet : Projet PREDIT 3
Implication du LESCOT : Le LESCOT est coordinateur et responsable scientifique de ce projet.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet, Eric Heyrman, Aline Alauzet
Document(s) : Synthesis in English.pdf, Synthese auf Deutsch.pdf
Objectifs :
PUVAME vise à sécuriser les passagers, les piétons et les autres « vulnérables » aux abords et lors des manœuvres de véhicules de transport en commun, tramways et bus, notamment bus articulés.
- Amélioration des capacités de perception du conducteur en fusionnant les données de divers capteurs embarqués (caméras, radar, télémètre laser …) avec celles de capteurs extérieurs (caméras localisées à des arrêts de bus ou à des carrefours dangereux).
- Détection et appréciation des situations dangereuses, en analysant des données courantes portant sur le " comportement du conducteur " et sur le résultat de l'évaluation de la " dangerosité " des manœuvres en cours.
- Déclenchement d'alertes et actions associées dans le véhicule (avertisseurs sonores directionnels ou pas, alarmes haptiques par exemple sur la direction, freinage en cas de non réaction du conducteur et de disponibilité de cette fonction sur le véhicule …).
- Déclenchement d'avertisseurs sonores destinés aux usagers vulnérables, par exemple avec des avertisseurs directionnels portés par le véhicule ou des avertisseurs sonores ou visuels sur l'infrastructure.
- Intégration et expérimentations sur véhicules et une étude préalable sur bus et/ou tramways.
Coordination : INRIA
Partenaires : IFSTTAR-TS2-LESCOT (exINRETS /LESCOT), Ecole des Mines, Connex-Eurolum, Probayes, Intempora, Robosoft
Dates : 01/01/2004 - 30/12/2006
Type de projet : projet PREDIT
Implication du LESCOT :
- Identification de scénarios typiques d’accidents entre bus et piétons à partir de l’analyse d’une base d’accidents réels survenus récemment en France.
- Présentation de ces scénarios aux partenaires de manière à définir les fonctionnalités et l’interface homme machine d’un système d’alerte automatique permettant d’informer le conducteur de bus et le piéton d’une situation critique
- Enquête auprès d’un échantillon de conducteurs de bus parisiens de manière à valider et préciser les scénarios d’accidents et les fonctionnalités d’un système d’alerte automatique.
Personnes impliquées : Annie Pauzié
Objectifs :
L’objectif de la partie expérimentale du projet SEROVIE était d’établir un lien entre les déficits attentionnels présentés par des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et leur compétence de conduite.
Coordination : IFSTTAR (ex INRETS)
Partenaires : IFSTTAR-TS2-LESCOT (ex-INRETS /LESCOT) , IFSTTAR-TS2- UMRESTTE (ex-INRETS /UMRESTTE), Hôpital Bellevue-St Etienne, INSERM
Dates : 01/01/2001 - 31/12/2004
Type de projet : DSCR
Implication du LESCOT : Le LESCOT a réalisé la partie expérimentale du projet qui a consisté en une mise en situation réelle de conduite d’un groupe de conducteur en stade précoce de la maladie d’Alzheimer couplée à une évaluation neuropsychologique des déficits attentionnels.
Personnes impliquées : Claude Marin-Lamellet, Laurence Paire-Ficout, Philippe Deleurence, Céline Goupil, Bruno Piechnik
Document : SEROVIE.pdf
Objectifs :
Concevoir des messages visuels qui traduisent les informations d'urgence et de perturbation dans une gare ou un pôle d'échange.
Coordination : Laurence Paire-Ficout
Partenaires : Laurent Saby (CERTU) - Gérard Guarracino (ENTPE-LASH)
Dates : 01/12/2007 - 31/12/2009
Type de projet : PREDIT
Implication du LESCOT :
- Analyse de la littérature
- Mise au point du protocole
- Passation des expérimentations
- Analyse des données
- Valorisation
Personnes impliquées : Aline Alauzet, Fanny Conte
Objectifs :
La sécurité des usagers vulnérables (piétons et deux-roues) représente un enjeu essentiel en termes de sécurité routière. En effet, les accidents qui impliquent un camion en milieu urbain ont souvent des conséquences dramatiques voire mortelles pour les plus vulnérables. L’objectif du projet VIVRE 2 était de développer des solutions technologiques permettant pour réduire significativement le nombre de ces accidents.
L’équipe, composée de chercheurs en sciences humaines, en sciences de l’ingénieur, de spécialistes en accidentologie, en éclairage et en sécurité des transports, s’est appuyé sur les besoins des conducteurs et les comportements des usagers vulnérables, pour poursuivre deux approches complémentaires, l’une basée sur l’éclairage et la visibilité du véhicule et l’autre sur les systèmes d’assistance à la détection.
Le système d’assistance retenu est composé d’un anti-démarrage, d’un freinage d’urgence, et d’un limiteur de vitesse, complétés par des retours informatifs visuels et par des alarmes lumineuses et sonores.
Coordination : RENAULT TRUCKS
Partenaires : Société INGELUX, RENAULT TRUCKS, CEESAR, ENTPE (LASH), Université LYON2 (LEACM), IFSTTAR/TS2/LESCOT (ex INRETS/LESCOT)
Dates : 01/12/2005 - 01/12/2008
Financeur du projet : ANR – Projet PREDIT
Implication du Laboratoire :
Le LESCOT s’est particulièrement impliqué dans les phases de conception et de développement du système d'assistance. Le LESCOT a notamment évalué les solutions techniques dédiées à la perception (capteurs), définit une méthodologie permettant de tester sur simulateur les répercussions des choix de capteurs sur l’efficacité de systèmes d’assistance et élaboré un module de gestion de l’interface basé sur le besoin du conducteur. L’approche d’intégration, de mise au point et de test choisie a été efficace pour le développement itératif et a été validée aussi bien du point de vue de la réduction du temps de développement logiciel, que de son efficacité économique (économie de temps d’immobilisation du simulateur de conduite de Renault Trucks).
Personnes impliquées au LESCOT : Hélène Tattegrain, Arnaud Bonnard, Marie-Pierre Bruyas
Objectifs :
Le thème VIZIR de l’action concertée SARI a pour objectif d’améliorer la sécurité sur le réseau interurbain en développant des outils de diagnostic et des solutions curatives à destination des gestionnaires routiers, dans des situations de rupture de visibilité ou de lisibilité routière. Coordination : LCPC Partenaires : Le consortium rassemble 15 partenaires : établissements publics (LCPC, INRETS, CEA, ENSMP), LRPC (St Brieuc, Strasbourg, Angers, LREP), partenaires privés (Prosign, Lacroix, Nexyad, Vitec, ESEO) et collectivités (Conseils Généraux 22, 49 et 91).
Dates : 01/01/2006 - 31/12/2008
Type de projet : Projet PREDIT rattaché à l’action concertée SARI
Implication du LESCOT :
La contribution du LESCOT a porté sur l’analyse de l’impact de la lisibilité des intersections en rase campagne sur la prise d’information et la prise de décision dans les manœuvres de tourner à gauche.
Les mécanismes du traitement de l’information et de la prise de décision ont été analysés en fonction du niveau d’expérience de la conduite des sujets et du fait d’exécuter ou non une tâche distractive en parallèle.
Personnes impliquées : Corinne Brusque, Marie-Pierre Bruyas, Julie Manzano, Julie Borgetto, Céline Goupil, Vincent Blanchet